LLNN News/ Vidéo « Desecrator »

Nouvel album « Unmaker » le 24 septembre prochain via Pelagic Records

https://listen.pelagic-records.com/llnn-unmaker

Unmaker, le troisième album des Copenhagois de LLNN, est une affaire stupéfiante et impitoyable : abrasif et vil, parfois effervescent et escharétique, et enfin absolument étouffant, suffocant, terminal.

LLNN a fait irruption sur la scène avec son premier album « Loss », acclamé par la critique en 2016, un pur étalage de « crudité absolue et rageuse », comme l’a dit Terrorizer. Mais leur son ne s’arrête pas là : « Les synthés drones ondulants qui sont fusionnés sans effort avec une noirceur brute et dure définissent les subtiles nuances idiosycratiques du son très peu subtil et douloureusement écrasant de LLNN » (The Sludgelord).

Après des tournées européennes avec Bison, des performances dans des festivals comme Roskilde, Roadburn et Arctangent et un split EP avec WOVOKA, LLNN est revenu avec son deuxième album « Deads » en 2018, un album qui semblait plus compact, mais aussi plus complexe et organique tout à la fois. Le groupe a exploré plus avant la coalescence de la guitare et de la basse – axe avec les couches de synthé du claviériste Ketil G. Sejersen – une direction qui est maintenant poursuivie sur Unmaker. En fait, la lourdeur contemporaine de LLNN ne se résume pas à « des morceaux denses et étouffants qui se construisent et s’écrasent » ou à « des voix enfouies sous des guitares épaisses et des tambours qui martèlent » (Decibel) : c’est aussi les synthés très dominants qui évoquent la sensation et l’ambiance des films de science-fiction dystopiques et post-apocalyptiques, inspirés par des compositeurs comme Brad Fiedel, Vangalis, John Carpenter et Stanley Kubrick autant que par des jeux de science-fiction/horreur comme Silent Hill, Dead Space, Halo et Limbo.

« En tant que grands fans des partitions de science-fiction classiques et des jeux vidéo, nous sommes fascinés par la façon dont la conception sonore cinématographique peut évoquer certaines émotions et laisser notre imagination se déployer dans une narration abstraite », déclare Sejersen.

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